Dans quelques articles parus récemment sur la sortie du film, Crépuscule pour un tueur, l’acteur Éric Bruneau, le réalisateur Raymond Saint-Jean et le scénariste Martin Girard y vont de leurs impressions sur le tueur à gages Daniel Lavoie, le personnage qu’ils ont façonné ensemble.
« Les quatre saisons sont incluses dans le film. On passe de la chaleur de l’été à la vibrance de l’automne. À un moment, Donald Lavoie enfile des raquettes pour aller couper un sapin, évoquant un coureur des bois. On voulait que ça ne puisse être rien d’autre qu’un film québécois ».
« On nous a demandé si le film glorifiait la criminalité. Je pense que ce n’est pas la bonne question à poser. Ce personnage ne mérite certainement pas la gloire au sens d’un héros, mais ce qu’il a vécu marque un tournant dans l’histoire de la criminalité au Québec. C’est pour lui que le Programme de protection des témoins a vu le jour. »
« C’est un récit sur le thème de la réhabilitation.»
— Martin Girard
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